J’ai rencontré Stan et Fany à l’atelier Touchons du Bois sur le Salon Habitat et Bois à Epinal. C’était en 2020.
C’est bien simple, je passe le plus clair de mon temps à travailler chez moi. Je travaille le bois et rédiger des articles pour le Bouvet. Il m’arrive également et régulièrement de fendre la campagne tarnaise pour aller donner des ateliers et diffuser la connaissance et les techniques permettant de travailler le bois à la main. C’est ma manière de redonner du sens au mot travail, à replacer l’humain, la matière et le geste au centre du débat.
Pendant mes journées, je pense très souvent à vous, qui êtes de l’autre côté de l’écran et lisez ces lignes. Je note dans un coin de ma mémoire des idées d’articles dont j’ai la conviction qu’ils viendront enrichir les connaissances de cette communauté grandissante de ceux qui travaillent le bois à la main.
Alors l’atelier Touchons du Bois à Epinal est une occasion incomparable de sortir du virtuel. C’est l’occasion de venir à votre rencontre, de se voir et d’échanger. Autrement que dans un dialogue qui se résume à des articles de blog. Autrement que des échanges au travers des commentaires.
En 2020, justement, c’est sur le stand Auriou de l’Atelier Touchons du Bois, que nous nous sommes rencontrés. J’ai réalisé à leur contact que Stan et Fany posent tous les deux un regard très doux sur le monde. D’ailleurs il y a une grande douceur dans leurs mots, dans leurs yeux et dans leurs gestes.
Nous avons, vous vous en doutez, beaucoup discuté de la pratique. Pas seulement des techniques, des outils ou des gestes qui ont leur importance, certes. Nous avons surtout parlé de ce qu’il y a derrière le fait de travailler le bois à la main. Il y a ces notions d’autonomie et d’indépendance, le rapport plus direct à la matière, une certaine épaisseur dans la pratique et puis cette cohérence profonde qui nous anime à faire ça.
C’est justement à travers les échanges que nous avons eu ensemble que j’ai réalisé que ce que je passais des soirées à écrire, le soin que je mettais à formuler des idées et à mettre en forme du texte, à peaufiner des images, cela même trouvait un écho et pouvait être inspirant. Ils ont été ce jour là l’incarnation de cette prise de conscience.
Or il se trouve qu’hier soir, j’ai eu le bonheur de suivre le lien qu’ils m’ont glissé dans un petit mail et suis tombé sur un site qui se trouve être le leur, un site à leur image: beau, simple et doux.
Les planches courbes, je m’y suis immédiatement plongé et j’ai beaucoup aimé!
Belle lecture!
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Les planches courbes
J’ai rencontré Stan et Fany à l’atelier Touchons du Bois sur le Salon Habitat et Bois à Epinal. C’était en 2020.
C’est bien simple, je passe le plus clair de mon temps à travailler chez moi. Je travaille le bois et rédiger des articles pour le Bouvet. Il m’arrive également et régulièrement de fendre la campagne tarnaise pour aller donner des ateliers et diffuser la connaissance et les techniques permettant de travailler le bois à la main. C’est ma manière de redonner du sens au mot travail, à replacer l’humain, la matière et le geste au centre du débat.
Pendant mes journées, je pense très souvent à vous, qui êtes de l’autre côté de l’écran et lisez ces lignes. Je note dans un coin de ma mémoire des idées d’articles dont j’ai la conviction qu’ils viendront enrichir les connaissances de cette communauté grandissante de ceux qui travaillent le bois à la main.
Alors l’atelier Touchons du Bois à Epinal est une occasion incomparable de sortir du virtuel. C’est l’occasion de venir à votre rencontre, de se voir et d’échanger. Autrement que dans un dialogue qui se résume à des articles de blog. Autrement que des échanges au travers des commentaires.
En 2020, justement, c’est sur le stand Auriou de l’Atelier Touchons du Bois, que nous nous sommes rencontrés. J’ai réalisé à leur contact que Stan et Fany posent tous les deux un regard très doux sur le monde. D’ailleurs il y a une grande douceur dans leurs mots, dans leurs yeux et dans leurs gestes.
Nous avons, vous vous en doutez, beaucoup discuté de la pratique. Pas seulement des techniques, des outils ou des gestes qui ont leur importance, certes. Nous avons surtout parlé de ce qu’il y a derrière le fait de travailler le bois à la main. Il y a ces notions d’autonomie et d’indépendance, le rapport plus direct à la matière, une certaine épaisseur dans la pratique et puis cette cohérence profonde qui nous anime à faire ça.
C’est justement à travers les échanges que nous avons eu ensemble que j’ai réalisé que ce que je passais des soirées à écrire, le soin que je mettais à formuler des idées et à mettre en forme du texte, à peaufiner des images, cela même trouvait un écho et pouvait être inspirant. Ils ont été ce jour là l’incarnation de cette prise de conscience.
Or il se trouve qu’hier soir, j’ai eu le bonheur de suivre le lien qu’ils m’ont glissé dans un petit mail et suis tombé sur un site qui se trouve être le leur, un site à leur image: beau, simple et doux.
Les planches courbes, je m’y suis immédiatement plongé et j’ai beaucoup aimé!
Belle lecture!
2 replies to “Les planches courbes”
otedanyel
Merci pour cette découverte !
CALVAYRAC
Merci, j’apprécie beaucoup +++