Il y a un peu plus d’un mois, une amie m’appelle. Elle souhaite passer à l’atelier et prendre de l’inspiration afin de répondre à une commande qu’on lui a passé. On lui a demandé de peindre l’aquarelle d’un ébéniste.
Amandine Szczepaniak est une aquarelliste talentueuse qui a déjà eu l’occasion de franchir les portes de l’atelier. Cependant, j’étais loin de me douter de ce à quoi ce coup de fil allait aboutir.
Tous les ouvrages académiques sur le travail du bois vont aborder le rabot avec des schémas farcis d’angles. Il y a l’angle de coupe, l’angle de fer, l’angle de biseau, l’angle de dépouille… Et si chacune de ces appellations portent en elles leur propre définition, l’angle de dépouille est plus vague à concevoir et est moins facile à appréhender. Il joue pourtant un rôle essentiel dans la mécanique de production du copeau.
Alors ça va parler d’angles et de vecteurs vitesse parce que c’est justement ce sur quoi je compte m’attarder dans cet article!
Un article du blog a vu sa publication anticipée… Retour sur ce moment crucial: Nelson Monfort:« So Sebastien, what really went through your mind as your mouse arrow hit the publish button in your article browser? We know you have the full support of your entire family but how will this influence your blog article publishing …
Des commentaires déposés dans les articles du blog méritent d’être mis en avant parce qu’ils enrichissent grandement le débat! Voici pourquoi le 4 1/2 bronze est absent de la liste des outils que je préconise et la raison du pas de 3mm dans la taille des tranchants du jeu de ciseaux à bois.
Il semble contrintuitif de mettre en œuvre un ciseau dont le tranchant ne mesure pas la largeur de la mortaise à creuser. Pourtant, utiliser un tranchant précisément adapté à la largeur de la mortaise, c’est la garantie d’un échec si l’on souhaite tailler à la cote.